__Des histoires de filles, on en entend tous les jours et de toute sorte. En passant de la paire d’escarpins qui n’est pas assortie avec cette robe qui grossit énormément, à cette fille bien trop jolie pour être honnête. Quelque chose ne tourne jamais rond. Du coup, cela entraîne une foison de questions, sans réponse… Des raisonnements, sans lien évident… Enfin, une espèce de micmac sauvage dans lequel on ne sait pas se dépatouiller… Est-ce qu’on le souhaite vraiment ? (se dépatouiller)
Le pire ou le meilleur (tout dépend du référentiel), c’est lorsqu’un homme fracasse le p’tit train de vie d’une femme. Imaginez, vous êtes là, tranquille entre spa, shopping et macarons (enfin… métro, boulot, abdos) et d’un coup, il apparaît. Il vous obsède, le moindre regard, mouvement, tout paraît incroyablement incroyable !
Ne parlons même pas des SMS « Coucou. Je voulais juste prendre des nouvelles. Bisous »
« Bordel, mais il a mis « bisous », tu te rends pas compte comme c’est bon pour moi là. Il me drague c’est sur. T’as vu c’est chou, ça reste simple. Pas de drague trop lourde et pourtant ça veut tout dire. On voit tout de suite que c’est quelqu’un de correct. En plus, the BEST, il écrit tout en entier et sans faute… »
Le soir, au restaurant (j’dis pas que c’est le premier RDV mais pourquoi pas). « On a discuté comme des fous, on s’est bidonné, vraiment c’était sympa. En plus, il avait mis une petite chemise, tout ça, tout ça… »
Bref, les robes, les jupes, les collants, cela prend moins d’importance, un minimum quand même mais un vent de fraîcheur s’abat dans notre folle chevelure. Les centres d’intérêts ne sont plus les mêmes, et puis les autres on s’en fout.
Les semaines, les mois passent, tout va bien. Les copines que sont-elles devenues ? Arf, c’est souvent une grande question. Certaines sont parties, par jalousie, ou par notre suffisance à raconter que Jules ça et Jules ci, du coup leur vie (à nos copines), on sait plus… D’autres sont là, nous voient heureuses, changées, métamorphosées ou mieux épanouies.
On lit beaucoup plus, on va au théâtre, au ciné, bizarrement l’actualité culturelle est au top. On adore le rock, la salsa, ma chanson française et un p’tit peu tout en fait. On est chic, on est glam, on est nature. Puis, on a aussi un teint fabuleux et un sourire de fou, ce qui est non négligeable.
Et puis un jour, tout s’arrête… La raison… Qu’importe, elle pourrait prendre de multiples visages, une autre femme, un homme pourquoi pas, la distance, d’importants désaccords, de la lassitude, du dégoût mais le fond reste le même. Le chemin commun prend fin. Les envies, les désirs, les rêves deviennent différents et la personne que nous sommes (la personne = nous sommes … Je pense que la schizophrénie me guette, que le fantôme de Freud reste éloigné de moi !), bien qu’elle soit dans l’ensemble la même, elle a cependant évolué. Ou plus simplement, elle s’est découverte. On fini par comprendre ce que l’on veut et surtout ce que l’on ne veut plus. Ce que l’on attend aussi, mais est-on vraiment capable d’attendre ? Ou par l’impatience ou l’incompréhension referions-nous les mêmes erreurs ?
Grosso merdo, si on rassemble tout c’la, la rupture ce n’est pas si dramatique que ça pourrait en avoir l’air. C’est finalement, l’un des seuls moyens de se connaître et donc d’avancer. De pouvoir aussi se remettre en question, et de se rendre à notre liberté également. Une chance de faire mieux.
On a tous pensé, un jour que 2 +2 = 5… Bref, on ne préfère pas s’en souvenir parce qu’un autre jour, eh ben on a fait mieux !__
Le pire ou le meilleur (tout dépend du référentiel), c’est lorsqu’un homme fracasse le p’tit train de vie d’une femme. Imaginez, vous êtes là, tranquille entre spa, shopping et macarons (enfin… métro, boulot, abdos) et d’un coup, il apparaît. Il vous obsède, le moindre regard, mouvement, tout paraît incroyablement incroyable !
Ne parlons même pas des SMS « Coucou. Je voulais juste prendre des nouvelles. Bisous »
« Bordel, mais il a mis « bisous », tu te rends pas compte comme c’est bon pour moi là. Il me drague c’est sur. T’as vu c’est chou, ça reste simple. Pas de drague trop lourde et pourtant ça veut tout dire. On voit tout de suite que c’est quelqu’un de correct. En plus, the BEST, il écrit tout en entier et sans faute… »
Le soir, au restaurant (j’dis pas que c’est le premier RDV mais pourquoi pas). « On a discuté comme des fous, on s’est bidonné, vraiment c’était sympa. En plus, il avait mis une petite chemise, tout ça, tout ça… »
Bref, les robes, les jupes, les collants, cela prend moins d’importance, un minimum quand même mais un vent de fraîcheur s’abat dans notre folle chevelure. Les centres d’intérêts ne sont plus les mêmes, et puis les autres on s’en fout.
Les semaines, les mois passent, tout va bien. Les copines que sont-elles devenues ? Arf, c’est souvent une grande question. Certaines sont parties, par jalousie, ou par notre suffisance à raconter que Jules ça et Jules ci, du coup leur vie (à nos copines), on sait plus… D’autres sont là, nous voient heureuses, changées, métamorphosées ou mieux épanouies.
On lit beaucoup plus, on va au théâtre, au ciné, bizarrement l’actualité culturelle est au top. On adore le rock, la salsa, ma chanson française et un p’tit peu tout en fait. On est chic, on est glam, on est nature. Puis, on a aussi un teint fabuleux et un sourire de fou, ce qui est non négligeable.
Et puis un jour, tout s’arrête… La raison… Qu’importe, elle pourrait prendre de multiples visages, une autre femme, un homme pourquoi pas, la distance, d’importants désaccords, de la lassitude, du dégoût mais le fond reste le même. Le chemin commun prend fin. Les envies, les désirs, les rêves deviennent différents et la personne que nous sommes (la personne = nous sommes … Je pense que la schizophrénie me guette, que le fantôme de Freud reste éloigné de moi !), bien qu’elle soit dans l’ensemble la même, elle a cependant évolué. Ou plus simplement, elle s’est découverte. On fini par comprendre ce que l’on veut et surtout ce que l’on ne veut plus. Ce que l’on attend aussi, mais est-on vraiment capable d’attendre ? Ou par l’impatience ou l’incompréhension referions-nous les mêmes erreurs ?
Grosso merdo, si on rassemble tout c’la, la rupture ce n’est pas si dramatique que ça pourrait en avoir l’air. C’est finalement, l’un des seuls moyens de se connaître et donc d’avancer. De pouvoir aussi se remettre en question, et de se rendre à notre liberté également. Une chance de faire mieux.
On a tous pensé, un jour que 2 +2 = 5… Bref, on ne préfère pas s’en souvenir parce qu’un autre jour, eh ben on a fait mieux !__
Revenue ici parce que tu as été parmi les 1ères "visiteuses" de mon blog quand j'ai débuté en Juin 2005... et je m'aperçois que tu as été la dernière à visiter le 1er article de mon blog... et que tu me poses, avec beaucoup de délicatesse, une question à laquelle je ne crois pas avoir répondu, le 25 Juin 2012. Tu venais de réussir ton passage en 2ème année et moi je passais du temps à l'hopital après retour du Québec et veille de départ à l'Ile aux Moines dans le Morbihan.
Ta question est (était) : "Le fait d'être "malade" n'exacerbe-t-il pas envie de vivre ? Plutôt que de te laisser porter ??"...
La réponse (que j'aurais dû te faire) : Oui, 1000 fois oui. Chaque soir, avec la balle de ping pong (prothèse valvulaire que j'entends quand je suis au lit, les 3 pilules (Previscan antiavk à prendre absolument), prise de sang tous les 15 jours pour l'INR, etc... je sais bien qu'on reste en sursis, et je suppose que toutes les occasions que je course pour faire des stages (Sahel, maintenant Australie), utiles pour ma recherche doctorale, sont aussi des occasions que je me donne de voir le monde avant qu'il ne soit trop tard. "Contrefeu" donc à la menace à laquelle je n'ai pas trop pensé, en faisant comme si elle n'existe pas... Sorte de refoulement dans un "activisme" itinérant.
J'espère que tu "avances" dans ton parcours professionnel, et tiens à te dire que j'ai toujours apprécié le "ton" à la fois humoristique et très averti de ton blog. Je suppose que tu as trop de travail désormais pour pouvoir le continuer. Cowblog s'éteint petit à petit... Dommage pour les échanges souvent intéressants et la connaissance réciproque que permettaient les coms. Je te souhaite d'atteindre tes objectifs dans les métiers de la santé...